Comment un groupe décide collectivement de l'action à mener ? La prise de décision est souvent qualifiée de consensuelle. En fait cela peut cacher du consensus ou du consentement.
Depuis l’essor du mouvement #MeToo on parle beaucoup de consentement.
Suite et fin de l'histoire Quand l'Agilité rencontre la sociocratie, dans la saison 1 de Rupture douce
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay et partagent des idées en commun.
L’expérimentation de la sociagilité commence en observant les façons de désigner des représentants dans les bandes de bikers et ce que propose Etienne Chouard à l’échelle de nos pays. Sur le terrain, Josette et Brice pratiquent l’élection sans candidat.
Tout ça fait réfléchir à la notion de chef dans notre monde de l’Agilité. Mais il faut bien conclure.
Suite de l’histoire Quand l’Agilité rencontre la sociocratie, dans la saison 1 de Rupture douce.
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay et partagent des idées en commun.
L’expérimentation de la sociagilité commence en observant les façons de désigner des représentants dans les bandes de bikers et ce que propose Etienne Chouard à l’échelle de nos pays. Voici la suite.
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay et partagent des idées en commun. Auront-elles beaucoup d’enfants ?
Du pouvoir hiérarchique au pouvoir latéral Dans la plupart des organisations encore marquées par le taylorisme, le représentant est souvent un chef désigné par le chef de plus haut niveau (les fameux N+1, N+2, …N+x).
Nous sommes toujours dans la saison 1 de Rupture douce. L’histoire s’appelle Quand l’Agilité rencontre la sociocratie. Le titre de cet épisode est “La sociagilité’'.
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay. Mais leur relation va t-elle se poursuivre ?
Résumé des épisodes précédents : Une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble ont permis de découvrir la sociocratie. Mais l’Agilité et la sociocratie vont-elles enfin se rencontrer ?
Résumé de l’épisode précédent :
À la Pasteline, avec une chocolatine, Thierry me parle de sociocratie. Mais il devient l’heure d’aller vaquer. Je n’en sais pas beaucoup sur le sujet.
La cybernétique Suffisamment quand même pour éveiller ma curiosité. Une recherche et j’ai vu que la sociocratie avait une page dédiée dans Wikipedia[1]. Très vite, m’apparut la première convergence avec l’Agilité dans le principe d’auto-organisation.
Je découvris les quatre règles de fonctionnement : la prise de décision par consentement, le cercle, le double lien et l’élection sans candidat. J’y lus aussi que la sociocratie avait ses racines en France, chez Auguste Comte, à l’origine du nom, et dans la cybernétique. Ah ?
La saison 1 de Rupture douce a été publiée début novembre. J’en avais parlé : des histoires connectées.
J’ai été particulièrement fier de contribuer à cet ouvrage collectif. J’y avais été convié par Laurent, suite à ma participation à son atelier du ScrumDay et l’article que j’avais écrit un peu après : Quand l’Agilité rencontre la sociocratie.
Des idées pour renforcer les fondamentaux de l'agilité dans leur composante sociale
La matinée à jouer à Kanban, l’après-midi en atelier : pour une fois que je ne parlais pas, j’ai privilégié la participation active au ScrumDay 2012.
L’atelier “Quand la sociocratie rencontre l’agilité” était animé par le sympathique québécois Gilles Charest et l’excellent Laurent Sarrazin.