Le backlog contient des éléments, qui ont chacun leur cycle de vie
Pour être plus explicite, plutôt qu’élément du backlog de produit, j’utilise story. Le backlog de produit contient donc des stories.
La vie d’une story se déroule de la façon suivante :
Ce chapitre deux parle de cycle de vie pour développer un produit
Mon éditeur (Dunod) m’a demandé de commencer à réfléchir à une deuxième édition de Scrum, le guide pratique de la méthode agile la plus populaire. Oh, on a le temps, c’est pour une publication au printemps en automne 2011.
Une 2ème édition peut inclure un éventuel nouveau chapitre, mais le plus usuel est d’améliorer et d’ajouter des paragraphes à ceux existant.
Après le chapitre 2, je continue la préparation de la deuxième version de mon livre par le 5, qui porte sur le backlog de produit.
Je n’ai pas eu de retours sur ce chapitre, à part celui de mon beau-frère qui a vitupéré contre l’emploi de l’anglais dans un livre en français.
L'agilité au-delà du projet, pour des programmes et des lignes de produit
En préparant ma présentation du 10 novembre à IBM Toulouse, j’ai relu des articles de Jim Highsmith et de Dean Leffingwell sur la scalabilité[1] de l’agile. Je me suis aussi rappelé que j’ai fait du marketing produit[2].
En confrontant ces idées avec mes expériences récentes, je pense être arrivé à une approche qui tient la route.
L'agilité ne se vend pas en pack de 12, il faut l'adapter à chaque projet
En 2008, dans la présentation Agilité en situation faite en duo avec Philippe Kruchten lors de l’Agile tour Toulouse, nous avions donné 8 critères permettant de définir le contexte des projets pour le développement agile.