Rupture Douce, c’est une série d’ouvrages collectifs dont le propos est de partager des histoires authentiques liées à des transformations agiles de tout type d’organisme vivant.
Le tome 7 de cet ouvrage collectif vient de sortir. Inspiré par Bruno Latour, il parle de l'atterrissage post-pandémie.
Pour ce tome 7 de Rupture douce, Laurent Sarrazin a invité les auteur·es à raconter leur rétro-confinement.
Voici la préface que j’ai écrite pour ce beau livre collectif.
Son but est d’expliquer ce truc — la rétro-confinement — lancé par l’agilité radicale il y a maintenant presqu’un an. Et de donner envie de lire les belles histoires du livre.
Parfois tristes, souvent émouvantes, toujours sincères.
Écoutez vos désirs, créez et développez vos propres idées, suivez vos valeurs.
L’an dernier pour les vœux 2020, j’avais publié un dessin d’Étienne Appert qui disait :
Et si c’était l’année d’amplifier votre art de devenir agiles ?
Cette année, pas de question engageante dans le dessin que je vous propose. Un slogan.
Pour une pratique vivante de l’agilité.
La période est troublée. Dans la communauté agile, ils sont nombreux à avoir vu leur mission arrêtée et leurs formations reportées.
Cependant beaucoup restent dans l’action : on voit fleurir des propositions diverses et créatives pour faire perdurer des connexions ou en faire renaitre de nouvelles.
En cette fin d’année 2020, voici trois initiatives originales.
Pendant le reconfinement, préparez votre atterrissage en racontant votre rétro-confinement dans le tome 7 de Rupture Douce
Bon, c’est le retour au confinement.
Pendant le premier confinement nous (avec Anthony et Jean-Pascal, à l’initiative de l’agilité radicale) avions lancé une rétrospective pour réfléchir à l’après confinement. Donc, comme on se reconfine, elle peut aussi servir pour l’après reconfinement.
Mais ce n’est pas le retour du confinement qui nous réjouit. Ce qui par contre nous fait énormément plaisir, c’est le lancement de Rupture Douce 07.
Le sous-titre de cette nouvelle saison de Rupture Douce est :
Libérons l’agilité !
On y trouve le témoignage de plusieurs entreprises libérées qui font partie du documentaire sur Le bonheur au travail passé hier sur Arte et visible pendant 60 jours.
Avec Gymkhana, co-créé avec Stéphane Langlois, notre objectif est aussi de libérer l’agilité, pour favoriser les idées citoyennes.
Vous trouverez l’histoire complète, celles des entreprises libérées et plein d’autres, dans Rupture Douce le livre.
Gymkhana, c’est une co-création avec Stéphane Langlois et c’est une aventure qui se poursuit.
Montpellier, un essai transformable Le premier coup de pied gymkhana a été donné à Montpellier. Il nous paraissait possible d’obtenir, en une seule journée, ce que nous n’avions pas réussi à construire en six mois d’incubation : collecter les besoins pour modéliser une première hypothèse de travail. Nous avions hâte de revenir à nos pratiques, et de commencer enfin la réalisation de Crise.
Gymkhana, construire ensemble et autrement des idées citoyennes
Après la saison 1 et la saison 2, voici le retour des grenouilles agiles avec la saison 3 : Libérons l’Agilité !
Le livre est en vente chez Lulu sous 3 formats.
On y trouve encore les saisons précédentes, auxquelles j’avais un peu contribué :
J’avais écrit une histoire pour la saison 1, sur Sociocratie et Agilité. J’avais relu deux histoires pour la saison 2. Pour la saison 3, j’ai fait du binômage avec Stéphane Langlois (co-créateur de Scopyleft) pour écrire :
Le prochain livre discuté lundi au Klub de lecture, c’est bien Rupture Douce, la saison deux.
Je dis c’est bien car il a été choisi avec la technique de vote Condorcet proposée par Voteer, et c’est une grande surprise pour ceux qui ont voté et vu les votes. Avec Anthony, nous avons de sérieux doutes sur le résultat. On va pousser l’analyse.
Mais enfin, cela m’a donné l’occasion de relire Rupture Douce 2.
Non, je ne parlerai pas de rugby (depuis vendredi 22h30, ma saison est finie)
Mais des essais qu’on peut lire.
Je dirais même des essais de Transformation Agile. Où on découvre des ScrumMasters (ou des explorateurs ou des grenouilles agiles ou des bidouilleurs systémiques ou des hackers de culture, bref des agents du changement) qui cherchent des voies pour changer le monde des organisations.
Suite et fin de l'histoire Quand l'Agilité rencontre la sociocratie, dans la saison 1 de Rupture douce
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay et partagent des idées en commun.
L’expérimentation de la sociagilité commence en observant les façons de désigner des représentants dans les bandes de bikers et ce que propose Etienne Chouard à l’échelle de nos pays. Sur le terrain, Josette et Brice pratiquent l’élection sans candidat.
Tout ça fait réfléchir à la notion de chef dans notre monde de l’Agilité. Mais il faut bien conclure.
Suite de l’histoire Quand l’Agilité rencontre la sociocratie, dans la saison 1 de Rupture douce.
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay et partagent des idées en commun.
L’expérimentation de la sociagilité commence en observant les façons de désigner des représentants dans les bandes de bikers et ce que propose Etienne Chouard à l’échelle de nos pays. Voici la suite.
Nouvel épisode de l’histoire Quand l’Agilité rencontre la sociocratie, dans la saison 1 de Rupture douce.
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay et partagent des idées en commun.
L’expérimentation de la sociagilité commence en observant les façons de désigner des représentants dans les bandes de bikers. Voici la suite.
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay et partagent des idées en commun. Auront-elles beaucoup d’enfants ?
Du pouvoir hiérarchique au pouvoir latéral Dans la plupart des organisations encore marquées par le taylorisme, le représentant est souvent un chef désigné par le chef de plus haut niveau (les fameux N+1, N+2, …N+x).
Nous sommes toujours dans la saison 1 de Rupture douce. L’histoire s’appelle Quand l’Agilité rencontre la sociocratie. Le titre de cet épisode est “La sociagilité’'.
Résumé des épisodes précédents : Après une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble, l’Agilité et la sociocratie se sont enfin rencontrées au ScrumDay. Mais leur relation va t-elle se poursuivre ?
Résumé des épisodes précédents : Une chocolatine à la Pasteline et une virée à Grenoble ont permis de découvrir la sociocratie. Mais l’Agilité et la sociocratie vont-elles enfin se rencontrer ?
Résumé de l’épisode précédent :
À la Pasteline, avec une chocolatine, Thierry me parle de sociocratie. Mais il devient l’heure d’aller vaquer. Je n’en sais pas beaucoup sur le sujet.
La cybernétique Suffisamment quand même pour éveiller ma curiosité. Une recherche et j’ai vu que la sociocratie avait une page dédiée dans Wikipedia[1]. Très vite, m’apparut la première convergence avec l’Agilité dans le principe d’auto-organisation.
Je découvris les quatre règles de fonctionnement : la prise de décision par consentement, le cercle, le double lien et l’élection sans candidat. J’y lus aussi que la sociocratie avait ses racines en France, chez Auguste Comte, à l’origine du nom, et dans la cybernétique. Ah ?
La saison 1 de Rupture douce a été publiée début novembre. J’en avais parlé : des histoires connectées.
J’ai été particulièrement fier de contribuer à cet ouvrage collectif. J’y avais été convié par Laurent, suite à ma participation à son atelier du ScrumDay et l’article que j’avais écrit un peu après : Quand l’Agilité rencontre la sociocratie.
Une floppée auteurs francophones qui publient de belles histoires
Dans sa préface de Scrum etc…, François Beauregard fait le constat du manque flagrant de livres en français dans le domaine de l’informatique. Ce constat date de 2009; il s’appliquait alors particulièrement au sous-domaine de l’Agilité. Pourquoi serions-nous moins capables d’écrire, disait-il ?
Eh bien les choses changent, avec une floppée auteurs francophones qui publient de belles histoires ces temps-ci.