Scrum quotidien
On ne dit pas boite à meuh, on dit étable
Dans la série Suppléments en ligne à mon livre Scrum, voici le scrum quotidien, qui constitue le chapitre 8.
On dit aussi “daily scrum” ou “standup”. Ou tout simplement mêlée.
Structure du chapitre
Voici le plan de ce chapitre sur le scrum quotidien.
Scrum quotidien, le plan
Le but du scrum quotidien
Cette fois je ne mets pas le résumé de fin de chapitre, mais l’objectif de cette pratique, présenté page 116 :
… En fait, son but principal est d’optimiser la probabilité que l’équipe atteigne les objectifs du sprint.
Les moyens pour atteindre ce but s’appuient sur l’inspection et l’adaptation, ils consistent en :
Identifier les obstacles nuisant à la progression de l’équipe.
Préparer les discussions d’équipe pour éliminer ces obstacles.
Garder l’équipe concentrée sur l’objectif du sprint.
Évaluer l’avancement du travail pour le sprint en cours.
Préparer les travaux nécessaires pour finir les stories.
Changements dans les éditions successives
Ce chapitre a été sensiblement revu dans l’édition 3. Il fait une demie page en plus, passant à 13,6 pages.
Le changement essentiel porte sur la nouvelle façon de conduire le meeting : orientée stories comme alternative à la séquence habituelle des membres de l’équipe qui répondent aux trois questions. Elle est cohérente avec l’essaimage présenté dans le chapitre 7. Pour la faire pratiquer depuis quelque temps, elle s’avère efficace.
Il a été aussi complété de nouveaux conseils pratiques ayant fait leur preuve pour des équipes sur le terrain. Par exemple l’usage de la boite à meuh.
Globalement, l’accent est mis sur le message important pour éviter les dérives parfois constatées : le scrum quotidien n’est pas un point d’avancement pour les managers.
Liens cités dans le chapitre
- Le lien vers la citation de Frederic Brooks n’est plus fonctionnel. On trouvera la phrase en question dans la page Wikipedia consacrée au Mythe du mois-homme
- La traduction du fameux cartoon de la poule et du cochon, tellement galvaudé maintenant.
- Il ne s’agit pas simplement de rester debout, traduction de Fabrice Aimetti