Une partie prenante est une personne intéressée par le résultat donné par l’équipe.
Une équipe agile produit régulièrement un résultat apportant de la valeur. Toutes les personnes concernées par ce résultat constituent – potentiellement – les parties prenantes.
Les relations dans un écosystème agile peuvent être perçues selon le paradigme du don étendu.
Cet article est tiré de l’ebook L’agilité, extension du domaine du don publié par le collectif Agile Radical à l’occasion du calendrier de l’avent.
L’extrait porte sur le point de vue du Product Owner dans ses relations avec les parties prenantes ; il a été sensiblement remanié à l’occasion. Cette réécriture constitue la 3e partie de cette série sur le don.
On retrouve tout au long du livre L’art de devenir une équipe agile ces cinq parties prenantes dessinées par Étienne.
Le chapitre 2 a pour titre L’équipe dans son écosystème. L’écosystème d’une équipe, c’est le milieu dans lequel elle évolue. Il est composé d’objets et de personnes. Les personnes, ce sont les parties prenantes.
À défaut de l'avoir en ce moment à Toulouse, Sea and Sun, j'en ai bien profité pendant mon séjour dans les Cyclades. Plein de mer Égée toute bleue (et même pas froide) et que du soleil tous les jours.
Scrum, c’est mon actualité de cette semaine : c’est le titre de mon livre qui sort mercredi. Bien que ce soit la 5e édition, je suis toujours anxieux de savoir comment il va être reçu.
Dans l’édition 4 de mon livre, j’ai ajouté des descriptifs d’une journée typique d’un ScrumMaster et d’un Product Owner.
Après Nicolas, le ScrumMaster chez Peetic, c’est le tour de Céline, la productoneuse.
Scrum étant construit sur la notion d’équipe, il est important de savoir qui est dedans et qui est dehors. On distingue ainsi les membres de l’équipe (PO, SM et DEV) des parties prenantes (PP).
Dans un cadre idéal, l’équipe est pluridisciplinaire. Cependant, elle l’est rarement complètement. Apparaît alors un autre rôle, celui d’expert.
Je le définis ainsi dans le glossaire de la 4e édition de mon livre :