
Pourquoi PermaBio deviendrait agile ?
C'est vrai ça, Pierre, tu nous parles d'agilité, mais pourquoi ? Why?
La suite de l’exemple PermaBio, avec la question essentielle :
Pourquoi l’agilité serait une bonne chose pour PermaBio ?
Un blog vivant depuis 2006 ! Des centaines d’articles accessibles par les menus et les widgets ou bien en parcourant les derniers que j’ai modifiés, ci-dessous.
C'est vrai ça, Pierre, tu nous parles d'agilité, mais pourquoi ? Why?
La suite de l’exemple PermaBio, avec la question essentielle :
Pourquoi l’agilité serait une bonne chose pour PermaBio ?
Pierre, Marie, Victor et les autres
On retrouve tout au long du livre L’art de devenir une équipe agile ces cinq parties prenantes dessinées par Étienne.
Le chapitre 2 a pour titre L’équipe dans son écosystème. L’écosystème d’une équipe, c’est le milieu dans lequel elle évolue. Il est composé d’objets et de personnes. Les personnes, ce sont les parties prenantes.
Les créateurs de Scrum pensaient bien faire en utilisant sprint
Dans L’art de devenir une équipe agile on trouve ce dessin. Il illustre ce que ne devrait pas être un sprint pour une équipe agile.
Pour expliquer comment on peut continuer à dire sprint tout en oubliant l’idée de vitesse qui y est attachée, j’ai utilisé un terme dont je viens de découvrir qu’il est une insulte du Capitaine Haddock. Il figure dans Le petit Haddock illustré d’Albert Algoud.
Non, ce n’est pas bachi-bouzouk. Ni ectoplasme. Ni apache. Ni vampire.
Le premier backlog est constitué
Pour notre exemple PermaBio, dans ce premier article consacré à la boucle de feedback (le chapitre 3 de L’art de devenir une équipe agile), nous allons nous intéresser à l’élaboration du backlog initial.
Il contient des gros morceaux qui seront ensuite affinés.
Gestes-barrières, valeur sociale, quelques idées pour bifurquer vers l'agilité radicale
J’ai eu le plaisir de participer à Agile en ligne jeudi dernier. Et cerise sur le gâteau j’ai vécu une belle aventure collective avec Anthony et Jean-Pascal pour préparer et donner la keynote de clôture de ce bel événement :
Le confinement, une opportunité pour bifurquer vers l’agilité radicale.
La recherche effrénée de la vitesse nous pousse à faire de l'agile, tandis que consentir à de la lenteur nous incite à être agile.
Pour le klub de lecture de discussion de jeudi dernier, nous avions choisi de disserter de la lenteur, à partir de l’émission passée le 9 juillet dans le débat de midi sur France Inter :
Peut-on encore être lent ?
Notre débat à nous — sur le Discord d’Agile Toulouse — fut bien intéressant et je le poursuis ici en le focalisant sur l’opposition — ressentie au premier abord — entre la lenteur et l’agilité.
Modélisation de processus
J’utilise le composer EPF pour documenter l’utilisation de Scrum sur un projet.
Dans Scrum (comme dans XP ou OpenUP), la rétrospective est la pratique recommandée pour améliorer le processus.
Lors des revues d’itération de vendredi, une discussion a commencé sur les fournitures relatives à la gestion de projet. Les équipes doivent-elles fournir une liste des risques, un relevé des heures passées, un bilan de l’itération ? Sous quelle forme cela doit-il être élaboré ? Ces informations doivent-elles être écrites ou présentées oralement lors de la revue ?
Formez toute l'équipe, pas seulement le Scrum master
On commence à trouver des formations en France sur Scrum et les méthodes Agiles. Par exemple, Valtech propose un cours de 5 jours “gérer les projets Agiles”.
Mieux vaut parler de méthodes agiles que de Scrum pour faire accepter l'idée de l'agilité sans effrayer la population, peut-être ?
J’ai fait la semaine dernière une présentation de Scrum à des personnes qui n’avaient jamais entendu parler des méthodes agiles. Ce n’est pas ce que je fais d’habitude et c’est à éviter pour des novices complets sur le sujet.
C’est qu’avec Scrum on utilise un langage particulier : sprint, scrumMaster, backlog, product owner, scrum daily meeting, etc.