L’engagement correspond, dans une situation donnée, aux conditions dans lesquelles la réalisation d’un acte ne peut être imputable qu’à celui qui l’a réalisé — Joule, Beauvois
Avec sa définition du sérieux, Jankélévitch nous invite à l'action ici et maintenant.
Je viens de voir Un métier sérieux au cinéma.
J’avais lu pendant l’été Un été avec Jankélévitch de Cynthia Fleury. Dans les vertus présentées, figure le sérieux, ce qui m’avait étonné.
Est-ce que ce sérieux là, qui est aussi celui du film, s’applique à l’agilité ?
J'ai lu la version française du Guide Scrum, publiée le 18 novembre 2020. Plutôt que garder mon ressenti pour moi, je vous le partage.
La parution d’une nouvelle version du Guide Scrum suscite toujours beaucoup de réactions. C’est le signe d’un intérêt qui ne se dément pas pour Scrum. Pourtant, et bien qu’il soit et reste une référence, c’est mal écrit, très mal traduit et sans la moindre illustration. L’effort de simplification de cette nouvelle version est louable, mais de mon point de vue, c’est raté.
Suite à la lecture de mon billet Scrum3.0, Eric se demande, à propos du sprint en flux continu :
Le flux continu remet en cause le principe “pas de changement pendant un sprint”. Comment permettre à l’équipe de s’engager dans ce mode de fonctionnement ? Au jour le jour ? Ou est-ce que ce mode de fonctionnement est réservé à des équipes qui ont dépassé le stade de la nécessité de s’engager ?
Je réponds à Eric :
Le dessin illustre l'orientation flux du sprint, avec le plan mis à jour au fil de l'eau. Et le clin d'oeil au canal du Midi.
La planification du sprint (en anglais Sprint Planning) est un rite Scrum qui se déroule à chaque début de sprint.
Ce rite au tout début du sprint sert à déterminer l’objectif et à produire le plan de sprint.
L’équipe est invitée à s’engager lors de la planification de sprint. Je constate que cette notion reste souvent mal comprise.
Voici quelques éclaircissements, qui s’appuient sur ma dernière lecture, le Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens.