Des petits bacs plutôt qu'un gros backlog, l'idée a maintenant fait son chemin. C'est plus facile pour l'affinage.
L’idée des bacs m’est venue quand j’étais encore Product Owner d’iceScrum, il y a 3 ans. Il y avait déjà le bac à sable, puis s’est ajouté le bac à glace. Pour iceScrum, ça s’est arrêté là, mais j’ai continué à expérimenter cette façon de présenter le backlog. C’est devenu “les bacs”.
L’expérimentation a été un succès. J’ai présenté “les bacs” dans la 3ème édition de mon livre Scrum. J’en ai parlé dans les conférences, par exemple à Toulouse. J’ai vu des équipes l’utiliser. D’autres ont essayé, ont trouvé ça bien.
Une équipe que je coache en ce moment a inclus dans son sprint une discovery story.
Story de découverte, c’est une notion que j’introduis dans la troisième édition de mon livre. De quoi s’agit-il ?
Avec le beau dessin de Patrice, mon illustrateur bien aimé
J’écris l’édition 3 de mon livre Scrum. Quand mon éditeur m’avait suggéré cette nouvelle édition, j’avais demandé ici dans ce billet ce qu’il paraissait intéressant d’y ajouter.
Dans son commentaire, FXMaq m’a orienté vers le mûrissement de backlog. Bonne idée.
En fait j’en parle déjà dans l’édition deux. Dans le §5.4.2 donc à la fin du chapitre sur le Backlog je conseille dans les choses à essayer de “Cultiver son backlog”. C’est ce que FXMaq appelle joliment mûrir et qui vient de l’anglais grooming.
Il n'est pas question de lessive (on est mardi), mais de management visuel
Un utilisateur d’IceScrum a déposé une demande d’évolution dans le bac à sable en ligne. Il nous dit :
Dans un environnement de production, vous avez souvent différents groupes de personnes qui sont responsables d’accomplir des tâches spécifiques. Par exemple, vous pourriez avoir des artistes, des designers, des programmeurs sur différents domaines, des testeurs…, tous ayant des compétences différentes. Il nous serait utile de les suivre séparément en termes de tâches et de ressources.